Tangalle, un paradis naturel entre océan déchaîné et mangrove
Des lagunes sauvages aux repaires de tortues, des hamacs sur la plage aux chambres avec vue, Tangalle abrite tout le nécessaire pour un séjour de farniente chic et de découvertes mémorables. GT vous imprègne de cet environnement privilégié, dans le sud du Sri Lanka, chez AlloVoyages.
“Il est 3 heures du matin et le souffle régulier d’Éole se mêle à la lancinante mélodie de la houle. J’ai mis des bouchons d’oreille mais la symphonie des éléments outrepasse mes défenses auditives. La nuit est intense, vivante, envoûtante, remplie de mystère. Là, dans cette chambre sans fenêtre qui surplombe l’océan Indien, à quelques mètres des rouleaux, je me sens impuissamment spectateur devant la redoutable féérie de la nature sri lankaise.
Nous sommes plus exactement en plein sud du Sri Lanka. Au beau milieu, également. Tangalle, où la présente histoire se déroule, divise l’ex-Ceylan en deux moitiés. D’un côté, à l’est, un littoral sauvage fait de criques inaccessibles, de franges de parcs nationaux et de portions de zones marines protégées. De l’autre, à l’ouest, une succession de stations balnéaires plus ou moins fréquentées, de spots totalement dévoués aux surfeurs et de luxueux resorts, parfois isolés. Et au centre de cette côte méridionale – ainsi que de notre récit –, à Tangalle, donc, un éventail de baies frappées par les vagues, de résidences assoupies et de multiples plages hétéroclites.
À l’extrême-Occident de la zone, débutons en évoquant Goyambokka. Ici, point de centre-ville, point de village ni même de bourg ; tout au plus quelques allées sinueuses, poussiéreuses, qui s’enfoncent de la route principale – loin d’être une autoroute – vers l’océan. Au hasard de ces chemins dérobés, une auberge, parfois un panorama sur l’immensité de l’horizon marin, souvent une villa envahie de…” Lire la suite sur allovoyages.fr