Autour de Boquete, adrénaline outdoor et contemplation sauvage des sommets
Fait méconnu : les montagnes règnent majestueusement sur l'intérieur des terres du Panama, étroite contrée centraméricaine en plein essor touristique. GT a exploré ces hauteurs sauvages, en particulier Boquete et sa province du Chiriqui. Récit de cette aventure tout en adrénaline et en expéditions. Lire la suite chez AlloVoyages.
“À 3475 mètres d’altitude, le fond de l’air est frais. Et les 15 kilomètres – pour 2000 mètres de dénivelé – parcourus dans l’obscurité depuis minuit, à la seule lueur des lampes frontales, se font ressentir. Un feu, plutôt bienvenu, a été allumé pour agrémenter nos précieux instants de repos. Dans quelques minutes, l’aube commencera à poindre et divulguera des bribes de paysage à l’horizon. Notre poste d’observation ? La cime du volcan Baru, sommet culminant du Panama. Il fait dans les 0 °C, loin des standards que l’on est en droit d’attendre d’une contrée exotique. Mais le point de vue mérite le coup d’œil, légitimant la rude ascension et la température vivifiante. La séduisante promesse initiale de ce panorama : pouvoir admirer simultanément les deux océans qui bordent le pays. Le Pacifique a joué les timides, se terrant derrière une épaisse couche de nuages. Quant à la mer des Caraïbes, elle a tenu son rang et s’est subrepticement laissée dévisager. Qu’importe cet espoir semi-contrarié, l’astre ascendant tiédit petit à petit l’atmosphère de ses juvéniles rais étincelants. Cela s’avère encore nécessaire, un vent hostilement frisquet s’étant joint à la partie. Le retour vers Boquete requiert une attention (et une volonté) de chaque seconde, au cœur d’un environnement que nous découvrons enfin avec son éclat diurne.
Et la zone n’avait définitivement pas à rougir de se dévoiler ainsi. Car Boquete constitue l’épicentre touristique d’une région nantie d’apparats. La province de Chiriqui, dans les fraîches hauteurs panaméennes, donc, incarne le royaume de…” Lire la suite sur allovoyages.fr