Au Timor Leste, on n'est jamais au bout de ses surprises
C'est le Timor Leste (ou Timor Oriental), ce pays quasiment inconnu du grand public (et de beaucoup de voyageurs), que GT dépeint chez AlloVoyages. De la capitale, Dili, et de ses environs à la quasi inaccessible île sacrée de Jaco, de superbes découvertes, qui se méritent, certes, mais qui laissent des souvenirs impérissables. Lire la suite chez AlloVoyages.
“Je n’avais absolument aucune idée de ce à quoi le Timor oriental pouvait ressembler. Comme une grande majorité de personnes, il faut l’avouer. Et c’est tout à fait cela qui m’attirait, en réalité. Se plonger dans l’inconnu, débarquer au cœur d’une île mystérieuse, s’émerveiller constamment de l’inattendu.
Autant, parfois, selon la destination, les surprises se font tout en douceur ; on retrouve quelques repères, on parle la même langue, on se recrée presque une routine. Autant, au Timor Leste (le nom international officiel), aucune chance ! On évolue typiquement en terre inconnue, avec un “bout du monde” qui prend totalement son sens ici.
Il n’est déjà pas facile d’accéder à cette contrée coincée entre l’Indonésie et l’Australie. Tout du moins pas rapide. Au mieux, une – longue – escale à Bali, Singapour ou Darwin ; au pire, un épique périple au départ de Kupang (capitale du Timor indonésien, soit la partie occidentale de l’île) via la frontière terrestre. Jusque-là, rien de trop singulier toutefois, l’exotisme a pour habitude de se mériter.
Dans tous les cas, c’est à Dili, capitale de la jeune (indépendante depuis 2002) République démocratique du Timor oriental que tout le monde débarque. La cité n’est pas très étendue et, surtout, pas très peuplée (moins de 200 000 individus). Ainsi, hors marchés, écoles ou autres réunions ponctuelles, on n’y croise pas grand monde. On n’irait pas jusqu’à parler de ville-fantôme, mais certains quartiers résidentiels, où les rues sont très larges et les locaux très assoupis (ou très casaniers), exhalent une étrange…” Lire la suite sur allovoyages.fr